Je ne me présente pas. Il faut oublier ce que j’ai largué dans touts les médias. Oublier le temps des malentendus et le temps perdu à ouvrir un débat qui pour le plaisir de Pepigne Blanc a fait beaucoup mal au cœur du parti. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Moi je t’offrirai mon plus grand sourire et tout mon appui au congrès de juin. Je promets d’attendre à te voir bien mort pour tenter mon sort d’être présidente. Malgaster l’haleine, ça ne sert à rien, puisque en ce moment ne vaut pas la peine. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas…
Je ne me présente pas. Je te lancerai des indirectés que tu comprendras. Je te parlerai de tes résultats: c’est la seconde fois que perd le PP. Je te raconterai l’histoire de cette femme triste de n’avoir pas pu te remplacer. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. J’ai vu des désirs et des belles espoirs se quemer les doits pour vouloir courir. Il est, paraît-il, moment d’espérer un meilleur congrès, un meilleur avril. Et si ça va pas, pour sauver les plats, n’est meilleur d’avoir un seul candidat? Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas…
Je ne me présente pas. Je ne vais plus parler, mais attention à moi. Et dans l’avenir, ne fais comme le can dit de l’hortolan qui ne mange pas ni permet manger. Je vais devenir le sombre de ton sombre, le sombre de ta main, le sombre de ta fin. Je me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas. Je ne me présente pas…